a la memoir de ma grande mére

  qu’es ce que je peux vous dire sur moi hhhhh

je suis professeur de discipline sociale (histoire et géographie)et artiste peintre .

être prof c'est déjà un  monde merveilleux pour moi ;cette métier me permet d’être en contacte avec les jeunes qui seront les maitres de notre futur société .donc ,c'est être  en contacte avec des souches sociales de différentes mentalités .le plus important pour moi c'est de les écouter et être à leur disposition et faire tout mon mieux pour les aider à  résoudre leurs problèmes; soit sur le plan administratif, familiale ou sentimentale: c’ être leurs ami, leur conseiller pédagogique ainsi que leurs prof .

la plus part ces jeunes ne vous demandent rein sauf que de les écouter.

L'art ;c'est le monde parfait pour moi ;être peintre c'est comme  un voyager dans le temps ou être un aigle et survoler au dessus des hautes montagnes et forets .chaque tableau pour moi un superbe voyage  au tour du monde

Quand je peindre un tableau  je sens comme c’est  une petite fille qui dance le ballé ou joue sur son  violant et ses yeux fermée. Je peux m’exprimer librement et dire tout ce que je suis incapable de le dire par les  mots .oui à chacun son langage et moi je préfère la langue du  .
mes premier pas dans l’art  était grâce à ma grande mère  paternelle ( Fatima Elmadani ;que son âme repose en paix ;ma mère adaptive)même qu’elle n’a guère fréquente une école  elle a apprenne le coran par cœur dans le koutab que son père a fourni pour les enfants dans  leurs Zawiya ; alors une petite fille seule au milieu des garçons ça c’était déjà une révolte pour elle  contre les traditions .elle l’on marrie de son premier mari à l’âge de 13 ans ;  veuve à l’âge de 17ans et deux petits enfants sur ses bras . on  la remarie à son cousin un septuagénaire  après 4 mois .Juste après encore quelques mois ce dernier est parti au ciel hhhh  laissant derrière lui une veuve encore enceinte d’un enfant . A cet époque elle a prit sa décision d’elle-même : pas de mariage pour sauvegarder sa fortune ; elle n’a plus besoin d’un homme pour  l’aider à grandir ses enfants ou de la protéger des autres. Elle regrettait  toujours de ne pas être envoyer à l’école et surtout elle était la fille unique de son père.
Enfin ses enfants sont grandi elle a cherche pour son fils ainée (mon père) une fille scolarisée de la ville  pour qu’elle aiderait ses enfants dans leurs études.
Alors puisque j’étais son 3 nièce et son dernier fils était instituteur ; elle m’a adaptée et m’a envoyer à l’école ; et j’étais sa nouvelle photocopie hhhh une fille parmi 40 garçons et 4 filles dans une modeste école de 3classes au milieu d’un petit village.
Puisque ma famille était l’une des aristocrates de  la régions  à cet époque; j’étais la fille privilégié de tous soit par les instituteurs soit par les gens de la région. Toujours de beaux vêtements Modèrne et des cartables neufs   et des crayons et des livres multicolores durant toute l’année .je me souviens bien aujourd’hui de leurs beaux dessins et leurs couleurs  ainsi que leurs odeurs comme ça c’était hier.  
Chaque fois que je reviens de l’école  ma grand mère appelle  ma mère et lui demande de voir si j’ai bien appris mes cours.
.A prés la révision de tout mes devoirs  elle me donne un crayon et me dit dessine moi ta classe ; et dis moi tout ce que tu veux par des dessins ; la premier fois tout  est  médiocre. mais elle les prenait et les regardait fertilement et me disait un jour tu arriveras aie confiance en toi .
le deuxième pas elle me donne les crayons de couleurs et me disait colore les pour leur donner la vie.
Même que mes croquis étaient médiocre elle les contemplait avec fierté   et me demande de ne plus relancée à dessine puis elle les montré à mon oncle qui se moque de moi en ri ayant pour me motiver encore «  qu’es ce que cet Bourdelle moi je dessine mieux que toi  «.
Et alors ça c’était un  grand challenge pour moi
Bien tôt au lycée EL3AMRIYA  à beni Mellal  un cousin de ma mère qui était un surveillant général et un grand joueur de foot balle de beni Mellal  ( hamdaniya abdollah) à cet époque (‘1986-1989) a découvert en moi l’envie de peindre .il m’a apportée la peinture et m’a demandé de décorer les murs de mon lycée pendant le weekend et ça c’était une vraie fête pour moi .Sur tout lorsque je vois le regarde  de satisfaction  des mes  profs ;des élèves et les visiteurs de ce lycée
-le rituel artistique pour mon art :La plus part de temps je peins après mes balades nocturnes dans la montagnes  et surtout pendant la nuit  jusqu’à le matin .
Quand je trace les premiers traits avec  mon  crayon sur une toile préparé d’avance je perde la notion de temps jusqu’aux  dernières touches alors je pose mon tableau devant moi et  je lui parle comme un être humain « alors tu es satisfait ou tu veux quelques touches encore « 
- les thèmes de mes tableaux sont toujours une réponse à des questions posées par mes élèves .quand je sens que je suis incapable de leur répondre par des mots ou incapable de les convaincre de q-q chose alors je m’exprime en couleurs  et ça  est plus facile soit pour eux qu’à pour moi
Parfois mes tableaux sont  une révolte contre des choses que je n’accepte pas dans notre société comme la violence contre les femmes ou la marginalisation de ces femmes dans  la prise des décisions  les plus importantes dans la vie  conjugale ……
Donc la femme est toujours présente dans mes tableaux pour vous dire : voilà j’existe malgré la violence ; la marginalisation ;le manque de moyen ; l’alphabétismes…..je suis là source de vie je suis là pour maintien  l’équilibre de tout sur cette terre.mon développement est le meilleur  investi cément pour notre société ; qui est entrain de se transformer ; puisque je suis la mère ;la sœur ; la fille  ….  Je suis là pour mieux assure la bonne voix de cette transformation .il faut juste me faire confiance  car je suis là depuis la création de l’humanité sur la terre et je serais  pour toujours.  
Mon 1 expositions artistique individuelle  pour le publique était en 31-10-2006
Le 2 en 31 -12-2006 actions jeunes pour jeunes
Parmi les articles sur mon parcourt artistique :
-ce lui de HASSAN  ISMAILI à millafate TADLLA
L’art au féminin
« autodidacte ; Elle fait de la sculpture ;de la couture ;de la peinture sur verre ;de la céramique (elle meuble d’abord son intérieur et va parfois ;jusqu’à  produire des objets utilitaires) ;elle écrit des nouvelles et de la poésie en arabe. Au fait Mme khira cherche sa voix en cherchant  comme elle dit « de l’âme «. « il ya en tout une âme ;il faut  savoir la dévoiler « ;dit-elle
Elle était toute petite quand elle s’essayait à la caricature ; pratique qu’elle n’a plus quittée depuis plus tard ; à la faculté ; elle découvrira   l’art du portrait ; et s’appliquera à la métriser   la technique  du cendre .elle peindre sur verre et n’hésitera pas à importer certain matériaux .Sa production artisanale décorative se frayera très vite un chemin vers une nouvelle dimension ; celle artistique qui lui permettra en fin d’arracher la reconnaissance de l’autre. Elle exposera ; et ses œuvres seront appréciées à leurs juste valeur ; comme elle nous a dit .elle a enfin trouvée sa voix. »
Écrit en millafate tadla en 28-2-2007
-SERES judet (assistante de centre  culturel français  à beni Mellal) à écrit dans son cahier journal  de centre :
«  C’est tout un mythe ancestrale venu des profondeurs de la terre qui surgit de ces ouvres sur ces toiles ; comme des replis de temps ; une belle rencontre avec une artiste et aussi une personne pleine de grâce »
 le 8-3-2007 à l’occasion de l’exposition « art ; livres et femmes » avec l’écrivain Zahra manssouri d’Agadir
je coix que j’ai trops dis hhh merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii de votre gentlliesse